Le prix de ton malheur est affiché TTC
La TVA, c’est cette douce arnaque que tu paies tous les jours sans jamais y penser. Un impôt qui se cache dans chaque baguette, chaque chaussure, chaque iPhone, chaque capote. Un impôt si bien déguisé qu’il est devenu inoffensif aux yeux des victimes. Et pourtant, c’est le racket le plus sournois de la République, celui qui finance ta propre servitude.
Car oui, ami(e) lecteur(trice), tu finances ton désespoir à 20%. Bienvenue dans le monde magique de la Taxe Volontaire sur l’Aliénation (TVA, pour les intimes).
La plus “indolore” des taxes est celle que tu paies le plus
La force de la TVA ? C’est sa discrétion perverse.
Elle ne t’arrive pas par un courrier recommandé avec menace de saisie. Elle est déjà incluse dans le prix, comme une MST dans une relation sans capote.
- T’achètes un t-shirt à 100€ ? T’en offres 20€ à l’État, sans t’en rendre compte.
- T’achètes une voiture à 30 000€ ? 6 000€ pour Bercy, cash.
- T’achètes un café à 2,20€ ? 36 centimes pour financer la retraite d’un député que t’as jamais élu.
Et tu sais quoi ? Les riches s’en foutent. Car pour eux, 20% de plus ou de moins, c’est juste le pourboire de la fiscalité. Mais toi ? Toi, t’en crèves à petit feu.
Ce que la TVA finance vraiment (spoiler : pas les hôpitaux)
On t’a dit que la TVA servait à financer les services publics. Oui, bien sûr. Et moi, je suis Johnny Hallyday.
La vérité, c’est que ton fric :
- Comble les déficits créés par les mêmes qui t’expliquent qu’il faut “faire des efforts”
- Rembourse des intérêts d’une dette que tu n’as jamais contractée
- Subventionne des associations fantoches, des projets absurdes, et des conférences pour “réfléchir à l’inclusion citoyenne au prisme du genre” (on n’invente rien)
Et pendant ce temps-là :
- Ton hôpital ferme des lits.
- Ton école n’a plus de papier.
- Ta grand-mère attend six mois pour voir un ophtalmo.
Mais l’État, lui, s’offre des sièges chauffants à l’Assemblée et des consultants McKinsey à 4 000€ la minute. Et c’est TOI qui paies.
La TVA : l’impôt le plus injuste du monde moderne
Quand t’es au RSA et que tu t’achètes un croissant, tu paies 5,5% de TVA. Quand t’es millionnaire et que tu t’achètes une montre à 80 000€, tu paies 20%… mais tu le récupères via une société. Tu vois le piège ?
La TVA ne prend pas en fonction de ce que tu gagnes, mais en fonction de ce que tu consommes. Donc plus t’es pauvre, plus tu dépenses en pourcentage de ton revenu, donc plus tu paies la TVA.
C’est l’impôt parfait pour maintenir les masses dans la misère, sans qu’elles ne s’en rendent compte. Un système digne de la mafia… sauf que là, c’est légal, voté, appliqué. Et tu l’applaudis.
Et si la TVA n’était qu’un outil de dressage fiscal ?
Réfléchis. Pourquoi faire en sorte que chaque acte d’achat soit taxé ? Pourquoi prélever l’argent à la source de ton plaisir ? Pourquoi installer un impôt dans chaque désir de consommation ?
Parce que la TVA, c’est du conditionnement. À chaque fois que tu achètes, tu offres une offrande à ton maître. Tu n’es pas un consommateur. Tu es un collecteur bénévole d’impôt.
Le commerçant n’est pas un vendeur : c’est un agent du fisc en tongs. Et toi, tu participes à ta propre exploitation, le sourire aux lèvres.
Le luxe s’en sort, encore
Les grandes marques ont compris. Elles facturent en HT, vendent à l’export, optimisent leurs marges, montent des holdings à Hong Kong. Et toi ? Toi, tu pleures parce que la TVA sur l’essence a encore augmenté.
Pendant que tu compares les prix au centime, les millionnaires négocient des exonérations avec les douanes. Et le pire, c’est que l’État les aide, car ils créent de l’emploi. Toi, tu crées de la sueur. Et tu paies la taxe dessus.
Tu payes une taxe pour acheter un produit… avec ton salaire déjà taxé
Petit rappel pour les endormis au fond de la classe :
- Ton entreprise te verse un salaire brut.
- L’État prend ses charges (employeur + salarié).
- Tu touches ton net.
- Tu achètes quelque chose avec ce net.
- Et on te re-taxe dessus avec la TVA.
Tu paies l’impôt deux fois pour le même euro. Et après, ils osent te dire que “ce n’est pas suffisant”.
Ce n’est pas une fiscalité, c’est une punition à vie pour être productif.
Comment réagir ? En provoquant. Chez Fisc’Attitude, on a décidé de ne pas pleurnicher. On imprime. On choque. On vend du textile comme on vend des vérités.
Nos prochains t-shirts “TTC : T’as Tout Cramé” ou “TVA : Tu Voles l’Argent” ne sont pas juste des vêtements. Ce sont des détonateurs sociaux. Parce que quand t’as compris le piège, tu n’as plus qu’une chose à faire : foutre le feu aux certitudes.
Pas besoin de manifester. Il suffit de porter le bon message, au bon moment. Dans une réunion. Dans une story. Sur le palier du contrôleur des impôts.
Tant que tu consommes, tu finance l’oppression
La TVA est le reflet parfait de notre époque :
- sournoise
- universelle
- et presque impossible à éviter
C’est l’impôt qui te donne l’impression d’être libre… alors qu’il te tient en laisse.
La bonne nouvelle ? Plus tu gagnes, moins t’en paies.
Et chez Fisc’Attitude, on te montre comment sortir du piège. Mais en attendant, n’oublie jamais :
À chaque fois que tu passes en caisse, tu finances un système qui rêve de t’y laisser.